La plaque de plâtre, c’est le matériau incontournable pour vos projets d’aménagements !
Par le passé, on utilisait la brique pour réaliser cloisons-faux plafonds, doublages.
La technique a évolué. A l’assemblage d’éléments qui s’emboitent les uns dans les autres pour réaliser un ouvrage, d’autres méthodes moins contraignantes sont venues se substituer. Désormais, dans le second œuvre, les constructions se font selon un schéma qui repose sur l’installation d’une structure métal avec recouvrement d’un parement. Ce parement, c’est bien sur la plaque de plâtre que l’on vient fixer contre l’ossature en utilisant des vis spéciales. Le vissage sur montants et rails est sa destination principale, dans le jargon du plaquiste, on appelle cette opération « plaquer ».
L’autre utilisation qui peut en être faite est l’habillage de propreté. Sur un support mural abimé ou déformé, à défaut d’utiliser des poudres pour reboucher et redresser, on peut se simplifier la tâche en prenant des plaques. Sur la surface à récupérer, on dispose des plots de colle, obtenus après mélange d’un mortier adhésif dédié. Les plaques sont rapportées contre. Avec une règle métal, on tape ces dernières, on les écrase contre les plots. La planéité, niveaux et aplombs est obtenu en dosant les coups, on presse plus ou moins selon ce que l’on souhaite. Coller, c’est tout un art et demande beaucoup d’expérience. La colle se prépare selon une certain façon. Elle ne doit être ni trop dure, ni trop molle, à la frontière entre les deux.
Sur la constitution du matériau : c’est du plâtre moulé entre 2 couches de carton.
Elle existe sous différents formats et épaisseurs, on démarre à 6 jusqu’à 25 en épaisseur, 13 étant la plus utilisée. A chaque usage : sa couleur, blanc pour milieu sec, vert ou orange pour pièces humides, rose coupe feux etc..elles sont mixables entre elles. Avec la plaque de plâtre on réalise tous les ouvrages usuels intérieur mais aussi du décoratif.